J’étais en déplacement au Japon et à Hong Kong pour présenter quelques vins de ma production de Bordeaux 2011, faire quelques séminaires et beaucoup de repas
1 jour, passé à Osaka, toujours aussi sympa, ambiance décontractée ( l’esprit du Sud, même au Japon), des séances de signature dans un grand magasin, des photos, plein de photos, ça peut faire croire qu’on est célèbre !
2 jours à Tokyo, beaucoup de monde au Hilton pour les présentations primeurs organisées par notre distributeur pour moi et 2 collègues négociants bordelais qui présentaient des vins des crus jouant le jeu, et c’est bien le moins que l’on puisse faire. Des repas, dont un avec uniquement 6 VIP dans un hôtel privé qui possède ses restaurants tout aussi privés ( Tokyo Bay Court Club), chic de chic.
3 jours à Hong Kong avec une belle présentation primeur au Peninsula, organisée par le partenaire Chinois de mon importateur japonais, c’est la mondialisation…

Avec un de mes distributeurs chinois de Hong Kong, un repas pour 30 personnes à l’American Club, encore un lieu privé, pour un bon repas et surtout le service à table de vins qui ont été , j’en suis sûr, très appréciés par une clientèle de connaisseurs et de fans.
N°2 Blanc de Valandraud 2008 , 3 de Valandraud 2006, Virginie de Valandraud 2008 (top), Valandraud 1992 tout juste commandé à l’un de mes premiers négociant bordelais. Les bouteilles parfaitement conservées ont fait une grosse impression, même à moi. Cela m’a rappelé celle goûtée chez Champlain Charest au Québec, c’est dire. Valandraud 1997 se goûtait bien, toujours trop jeune. Valandraud 1995 était bon, bien sûr, le magnum de Valandraud 1999 rendait le vin plus complet, plus frais, encore une bonne bouteille. Le Valandraud 2009, emmené dans mes valises, était « au dessus » mais pour dans 15/20 ans !
Dans un grand magasin d’Osaka, le coin vin, c’est 900 références dont 100 qui changent toutes les semaines, avec 50 vendeurs !
Au restaurant privé de Tokyo, Bad Girl, Blanc de Valandraud 2005, Clos Badon 2003, Virginie de Valandraud 2009 et l’Interdit de Valandraud 2000 qui se goûte formidablement bien à présent.
Lors du repas privé au Peninsula, champagne Peninsula élaboré par Deutz et Valandraud 2003.
A Hong Kong, restaurant d' un auto-didacte, admirateur d’El Bulli - cuisine d’inspiration moléculaire et 2 étoiles Michelin, vraiment plus que méritées : Bo Innovation à Wanchai.
Blanc de Valandraud 2003 incroyablement frais, nous n’en avons hélas plus, Hugo 2004 de Calvet Thunevin, parfait avec cette cuisine épicée, Clos Badon 2005 et Valandraud 1998.