Dégustations avec les commerciaux de l’un de mes distributeurs à New York ou à Boston, et sur le terrain avec Christian Dalbavie : des restaurants ou bistrots connus qui ont tous acheté 2 ou 3 des 6/7 vins présentés, preuve que Bordeaux redevient branché, que nos vins plaisent.
Les brasseries qui font 300 couverts à midi et 500 le soir comme Pastis ou le très select Club 21, le Corton, le Keens Steakhouse, The Lion (avec des peintures de Basquiat aux murs de la salle) à New York, et à Boston le Harvest, le Bistro du Midi et autres clients amateurs-fans des vins « Thunevin ».
Les ventes après la crise financière étaient tombées très très bas et nous retrouvons aujourd’hui le même dynamisme qu’avant cette crise. Travail et joie de travailler, prix bien sûr revus à la baisse, moins de bling-bling, des rapports qualité-prix plus européens et le service en plus. La méthode de rémunération étant pour beaucoup dans cette énergie.
L’avion A 380 que j’ai pris pour le voyage aller était vraiment silencieux. Pourquoi Air France ne fait pas de sièges classe affaires à 180 degrés, ça je ne comprends pas ces sièges tout juste capable d’être à 160 degrés ?
Retour par Boston impeccable, service de qualité et même en avance à Paris. Et le bus- navette pour le parking longue durée à Bordeaux était à l’heure. Comme quoi, tout arrive.