Un ami m’a fait passer une photocopie d’article paru dans le Nouvel Obs du 13 septembre, signé Jérôme Baudouin, qui me fait tenir des propos qui sont exacts
En effet, je suis très reconnaissant à l’appellation Saint Emilion de m’avoir intégré et d’avoir classé Valandraud, car si j’ai souffert à mes débuts de divers noms d’oiseaux dont on m’a affublé, je ne me suis jamais senti « trop » martyrisé, étant par nature et par rapport à d’autres collègues, moins paranoïaque et plutôt du genre à voir le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide.
J’ai largement préféré être attaqué qu’être ignoré, preuve pour moi que j’existais et je n’ai jamais cherché à pénétrer des milieux qui ne voulaient pas de moi, ayant un seul but : faire le mieux possible pour moi, mon entreprise et Valandraud.
Dans ce même article du Nouvel Obs, des coups de cœur donnés par Antoine Gerbelle a pas mal de vins que j’apprécie, dont bien sûr plus particulièrement Sansonnet 2009.