Le château Bel Air (Ouÿ- Bernard) est classé en 2ème cru de la commune de Saint Etienne de Lisse en 1868 dans le Cocks-Féret première édition, avec une production de 30 tonneaux de 900 litres ( soit 36000 bouteilles)
Dans le très rare "Saint Emilion et ses vins", des mêmes Cocks & Féret, édité en 1881, le cru de Belair (demoiselles Bernard Ouÿ) est classé en 1er cru de la commune de Saint Etienne de Lisse, production toujours de 30 tonneaux.
Le prix pour ce cru était compris entre 800 et 1200 francs, alors que les 1ers de Saint Emilion étaient entre 1000 et 1400 francs en primeurs. Ce prix, dans les bonnes années, était doublé à la livraison des bouteilles 3 à 4 ans après !
A l’époque la vigne était déjà plantée 1m50 entre les rangs et 1 mètre entre chaque pied à cause du travail de la charrue. Ceux qui travaillaient encore à la main avaient des vignes plantées à 1m33 sur 1.33 !
Beaucoup de travaux dont certains sont considérés avoir été inventés par les garagistes, qui n’ont fait que réhabiliter de vieilles techniques (pinçage, effeuillage, etc…).
Quand on lit les livres de cette époque, tout est dit, écrit, de ce qui doit se faire et des interrogations que l’on se pose encore aujourd’hui.
Le prix de l’époque doit aujourd’hui correspondre à 5000 euros le tonneau en primeur, ça serait bien si un spécialiste pouvait nous convertir ces francs 1880 en euros 2010.
10 viticultrices à la télé
Suite à leur show dans les salons de l’assemblée nationale (gros succès), Murielle et ses copines doivent passer à la télévision dans « Petit journal people » de Yan Barthès de Canal+, entre 19h05 et 19 h55
Jean Charles Bischoff 03/02/2010 18:09
Maxime 12000 03/02/2010 16:19
mauss 03/02/2010 15:09