Parmi les vins cités comme étant bons et pas très chers par Thierry Desseauve : Lousteauneuf en Médoc, Chantegrive rouge et blanc en Graves et La Dauphine en Fronsac. Vive Desseauve
Irrationnel ?
Pour ce qui est des vins chers, on peut les comparer à ce que l’on veut, on peut dire qu’ils ont perdu 50% depuis la crise, voire même qu’ils se vendent moins chers que les prix de sortie propriété, mais quand ils dépassent les 50 euros, c’est encore beaucoup d’argent pour les « Monsieur tout le monde ».
Il faut bien comprendre que, même s’il y a une baisse des prix de ces grands vins, il n’y en aura jamais assez pour tous ces gens riches et intéressés par le vin – que cela soit pour la frime, par goût ou pour la spéculation.
Ces vins ne seront jamais vendus au détail à moins de 50 euros - il ne faut pas rêver, mais plutôt chercher à se faire plaisir avec la multitude de vins de qualité produits aujourd’hui partout et les boire et les servir avec tout le « cérémonial » apparemment utilisé pour ces grands crus connus : beaux verres, bonne température, un petit peu de « cinéma » ne gâche pas le plaisir, tout comme pour les repas ou les relations humaines et la forme n’est pas uniquement utilisée pour oublier le fond, mais plutôt pour le transcender.