Désormais, plutôt que de dire quelle bouteille j’ai voulu boire et qui s’est avérée bouchonnée, à l’avenir je citerai le nom du bouchonnier et je garderai les bouchons pour analyse.
Si tous les clients font la même chose, la profession de bouchonnier devrait rapidement faire sa révolution qualitative.
Un de mes collègues me disait avec sérieux qu’il ouvrait beaucoup de son vin et qu’il n’avait pas plus de 1% de problèmes. Je veux bien le croire : il a sans doute trouvé le fournisseur rare qui, sérieux, ne lui vend que le top (ou c’est un coup de chance).
Pour ma part, je me dis que lorsque sur 100 bouteilles ouvertes, j’en rejette 7 ou 8 à cause de problème de "bouchonné" et autres déviances proches, soit je suis trop difficile, soit j’ai la guigne.
Et comme je n’ai pas le mauvais œil ( la preuve : ma vie qui est la plus belle qu’on puisse rêver), c’est donc que je suis trop difficile... sachant que Murielle est encore pire que moi, vous pouvez imaginer les sueurs froides de nos amis quand on ouvre une bouteille.
Nous en sommes à notre 4ème bouchonnier en 15 ans, et j’espère que notre bouchonnier actuel, Bourrassé, saura continuer à bien nous servir.
Michael Pronay 20/04/2008 14:12
mathieu 11/04/2008 16:34
Stéphane VILLETTE 11/04/2008 11:42
Jean-Michel COMME -Pontet-Canet 11/04/2008 11:16
Stéphane VILLETTE 11/04/2008 10:02