J’aime des dégustateurs qui sont capables, comme le fait Robert Parker, de mettre ne valeur au milieu des crus iconiques, 1ers crus classés A, super seconds et autres catégories établies, des nouveautés, des crus qui explosent ce satané plafond de verre, qui seront donc de super rapports qualité-prix et si j’analyse les notes et commentaires d’Antonio Galloni, je suis heureux de voir tout en haut, devant bien des premiers : Pichon Comtesse avec 97-100 (je en suis pas allocataire, snif ), ou les scores du Château Le Prieuré 95-98, plus que bravo pour le travail accompli, idem pour Clos Saint Julien avec 94-97, comme Vray Croix de Gay qui sont de vraies belles réussites du millésime. Et comment ne pas être content pour Sansonnet et son 93-96, ou Petit Gravet Ainé qui a la même note, etc…
Les clients de nos vins de Bordeaux connaissent bien tous ces noms mais ils ont besoin que l’on attire leur attention sur ces réussites, ces propriétés qui mettent tout en œuvre pour faire le meilleur, aidés en cela par, bien sûr, de beaux terroirs, mais surtout par des hommes compétents et motivés.
Merci enfin pour mon Clos du Beau Père qui, avec 91-94, se trouve enfin positionné comme je sais que ce cru le mérite. En tout cas, capable à l’aveugle de surprendre plus d’un amateur de Pomerol.
Si je regarde les notes de James Molesworth du Wine Spectator, merci pour La Vieille Cure avec 91-94, merci pour Valandraud et son 96-99, tout en haut du tableau. Merci pour Fleur Cardinale et son 92-95 ou le Domaine de l’A avec 92-95.
Voilà ce que j’aime.
mauss 27/04/2017 10:03